photo Apéro littéraire et Nocturnes d'Eté

Apéro littéraire et Nocturnes d'Eté

Lecture - Conte - Poésie, Conférence - Débat

Saint-Jean-en-Royans 26190

Du 10/07/2025 au 07/08/2025

Venez nous parler de vos dernières lectures et nous vous parlerons des nôtres! Public adulte, réservations conseillées. La librairie, café-jeux, boutique de jeux, jouets, art et création reste ouverte les jeudis soirs côté Clairière ET côté Tanière!

photo Les Dîners Insolites au Château des Baux

Les Dîners Insolites au Château des Baux

Patrimoine - Culture

Les Baux-de-Provence 13520

Le 10/07/2025

Dressée sur son éperon rocheux, l’Esplanade du Château des Baux semble être la proue d’un vaisseau de pierre voguant à travers l’histoire de la Provence. On y domine à la fois la vallée des Baux mais aussi au-delà. Et puis se retournant, on voit se dessiner les souvenirs des seigneurs des Baux. En fermant les yeux, c’est certain, c’est Charles Rieu et Mistral que l’on entendra chanter et en les rouvrant, c’est la pleine lune que l’on découvrira, comme déposée sur les Alpilles. Erik est un enfant de la balle, incarnant fièrement la 3ème génération de cuisiniers qui se succèdent au sein de sa famille. Au sortir de l’école hôtelière, il emprunte le chemin de la pâtisserie avant de retourner à ses premières amours, la cuisine. Au côté du Chef Sergio Mei (1er chef d’hôtel étoilé en Italie), il cultive la passion des beaux produits. Puis il revient en France et pose ses valises à Paris, au George V, au sein de la brigade du Chef Simone Zanoni, avec qui il décroche une 1ère étoile. Il prend depuis cette année les cuisines de Bec au Paradou.

photo Les Franciscaines se souviennent :

Les Franciscaines se souviennent : "Colette et le music-hall" par Alexandra Destais et Joanne Genini

Lecture - Conte - Poésie, Musique

DEAUVILLE 14800

Le 10/07/2025

À la Belle Époque, la scène devient pour les femmes un espace d’émancipation. Colette s’y illustre en artiste libre, provocante et moderne, qu’elle évoque avec tendresse dans "L’Envers du music-hall", recueil de nouvelles publié en 1913. À travers des lectures choisies et une mise en contexte historique, cette conférence propose une immersion dans l’univers de Colette, entre lumière des projecteurs et revers d’une vie itinérante. En suscitant le scandale sur scène, en bousculant les codes de la bienséance, Colette contribuera par l’exemple de sa propre vie à l’érotisation des mœurs. Après son divorce en 1906, amenée à conquérir sa propre indépendance, Colette devient artiste et, jusqu’en 1912, part en tournée aux côtés du célèbre mime de ce début du XXe siècle, Georges Wague. Forte de la possession de tous ces souvenirs, témoin tendre de son temps, la romancière nous décrit, à grand renfort d’images sensibles, ces complices vagabonds qui vivent certes à l’air libre, mais qui, « pâles de surmenage », sont vêtus de « lamentables pelures de tournées, de grands manteaux cache-misère » et vont de ville en ville.

photo Les Franciscaines se souviennent :

Les Franciscaines se souviennent : "Colette et le music-hall" par Alexandra Destais et Joanne Genini

Conférence - Débat, Lecture - Conte - Poésie

Deauville 14800

Le 10/07/2025

À la Belle Époque, la scène devient pour les femmes un espace d’émancipation. Colette s’y illustre en artiste libre, provocante et moderne, qu’elle évoque avec tendresse dans "L’Envers du music-hall", recueil de nouvelles publié en 1913. À travers des lectures choisies et une mise en contexte historique, cette conférence propose une immersion dans l’univers de Colette, entre lumière des projecteurs et revers d’une vie itinérante. En suscitant le scandale sur scène, en bousculant les codes de la bienséance, Colette contribuera par l’exemple de sa propre vie à l’érotisation des mœurs. Après son divorce en 1906, amenée à conquérir sa propre indépendance, Colette devient artiste et, jusqu’en 1912, part en tournée aux côtés du célèbre mime de ce début du XXe siècle, Georges Wague. Forte de la possession de tous ces souvenirs, témoin tendre de son temps, la romancière nous décrit, à grand renfort d’images sensibles, ces complices vagabonds qui vivent certes à l’air libre, mais qui, « pâles de surmenage », sont vêtus de « lamentables pelures de tournées, de grands manteaux cache-misère » et vont de ville en ville.